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LA GRÈCE DE L'ENCYCLOPÉDIE DE DIDEROT ET D'ALEMBERT

 

 
  • La ville d'Athènes
    C'est aujourd'hui peu de chose en comparaison de ce qu'elle était : il y a quinze à seize mille habitants, dont le langage est un grec corrompu.




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  • Lesbos
    Voilà quelques-uns des beaux endroits par où l'on peut vanter cette île et ses citoyens. D'un autre côté, leurs moeurs étaient si corrompues, que l'on faisait une grande injure à quelqu'un, de lui reprocher de vivre à la manière des Lesbiens.




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  • Larissa
    la capitale de Thessalie, mérite seule de nous arrêter ici. Elle était située sur la rive droite du fleuve Pénée, dans la Pélasgiotide, dix milles au-dessus d'Astrax ; elle est nommée Larissa dans Lucain, et Larissae dans Horace.




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  • Délos
    Tous les maçons des îles voisines y viennent comme à une carrière, choisir les morceaux qui les accommodent.




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  • Les temples de Delphes
    Il n'y a personne qui n'ait ouï parler du temple de Delphes, de ses richesses, des révolutions qu'il a essuyées, des oracles qui se rendaient dans son sanctuaire, enfin du nombre prodigieux de gens destinés au service de ce temple.




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  • L'oracle de Delphes
    C'est à l'oracle d'Apollon que la ville de Delphes dut sa naissance et son agrandissement ; elle lui dut sa réputation, et ce grand éclat qui la fit regarder comme le centre de la religion, comme le séjour favori des dieux.




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  • Le sanctuaire de Delphes
    Les Grecs croyaient que Delphes était le milieu de toute la terre ; et ce ne sont pas les seuls qui ont cherché un milieu à la terre, quoique ce soit à-peu-près vouloir trouver la droite ou la gauche d'une colonne.





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