DÉLOS ANTIQUE ET MODERNE
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| Délos et Marseille
Les Nani, riche maison de Venise, constituèrent alors, et au siècle suivant, leur collection d'oeuvres déliennes. Rachetées en 1840 par le Musée Calvet en Avignon, elles sont maintenant provençales. C'est là un itinéraire complexe et exceptionnel. Les monuments déliens arrachés à leur sol ont en effet généralement suivi un parcours plus direct pour arriver en France.
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| Deux Massaliètes dans l'île d'Apollon
En exil à Marseille, après le désastreux plaidoyer de son ami Cicéron, Milon ne regrettait rien. Il se régalait de succulents rougets. L'histoire ne dit pas de quel vin il arrosait ce plat délicieux. S'il puisait à une amphore dont le bouchon portait "P. MAECI[US] L. L", une marque dont on a retrouvé plusieurs exemplaires au cimetière marin de l'"Esteù dou Mieù", au large du cap Croisette, il ne buvait pas un cru délien, mais Délos était pour ainsi dire sur sa table.
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| Le commerce à Délos
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| Le premier Marseillais en visite à Délos
Au début de ce siècle, H. Omont a fait connaître le texte d'un "petit cahier manuscrit, provenant de l'ancienne abbaye de Saint-Germain-des-Prés, et aujourd'hui conservé à la Bibliothèque Nationale (ms. français 19896)". Il contenait "le journal autographe (...) d'un double voyage" à Athènes et à Constantinople, puis à Jérusalem, en 16O2 et 16O5, du capitaine marseillais François Arnaud.
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